RDD - LE CONSTAT - Suite

  - Que veulent les Français ? 

Les Citoyens veulent tout simplement être considérés comme adultes
maîtres de leur destin.

HABEAS CORPUS !

Pour ce faire, ils désirent vivement participer régulièrement à toutes les décisions qui les concernent.

    Leur engagement dans leur quartier, les associations, les ONG, leur mobilisation pour défendre leur emploi, l’environnement, leur qualitéde vie, sont autant de signes d’un profond changement de mentalité que les responsables politiques ne devraient pas s’entêter à ignorer trop longtemps.
    Les Français préfèrent, de toute évidence, la démocratie fondée sur leur légitime souveraineté, c’est-à-dire la démocratie des urnes légale et pacifique, à la démocratie de rue :
" Démocratie des casseroles et des banderoles ".

    Démocratie qui n’est autre que la conséquence des nombreuses luttes idéologiques, partisanes et d’un pouvoir pseudo-démocratique, politico-monarchique, diviseur, producteur de violence, d’exclusion, de pauvreté, de misère et de haine ouvant grand la porte à toute forme d’exactions.
    Cette pseudo-démocratie " savamment " élaborée sur la théorie de la division, engendre de nombreuses frustrations et, par réflexe, des réactions agressives, voire extrêmes - réflexe logiques et compréhensifs - (grèves, manifestations, ... et sa forme pervertie, expression d’un grave malaise social, voir d’un réel désespoir de tout ou partie du peuple : violences urbaines, dégradations, agressions, délinquance, ...).

La France s’en va à vau-l’eau ! ...

     C’est pourquoi, il est urgent que les citoyens -
" Sentinelles " de la démocratie - participent directement et régulièrement à la gestion de leur pays, mais il est également nécessaire, voire vital de se libérer définitivement de cette curieuse et dangereuse politique au fonctionnement symptomatique qui ne s’attaque nullement aux causes réelles des mots qui frappent de plein fouet la France et les Français et qui, tel un cancer négligé, mal traité, ronge insidieusement mais inexorablement notre société.
    C’est pourquoi, il faut indubitablement à la France une politique essentiellement étiologique, c’est-à-dire une politique fondée sur l’étude sérieuse, approfondie et sans complaisance de l’ensemble des symptômes pathologiques (syndrome démocratique) qui caractérisent et perturbent gravement notre pays.
    Une fois le diagnostic politique correctement posé, les citoyens pourront - loin des grands et petits lobbies qui minent dangereusement notre société -, conjointement avec leurs responsables politiques et civils, définir avec précision les causes réelles de ces troubles afin détablir, sans délai, le traitement curatif qui leur semble le mieux approprié pour annhiler définitivement ces problèmes inhérents à notre société. Problèmes qui, aujourd’hui, affectent douloureusement les Françaises et les Français dans leur vie quotidienne et leur préparent, si rien ne change à court terme, un avenir des plus sombres et des plus incertains. Cepandant, après l’analyse objective et pertinente des maux de notre société, si le traitement politico-démocratique est courageusement, vigoureusement et rapidement appliqué, le pronostic reste des plus optimistes malgré l’état de déliquescence dans lequel se trouve le monde, donc la France.

Les citoyens ont très bien compris que changer d’idéologie à chaque élection équivaudrait
à changer de cabine sur un bateau qui coule.


De cette option..., les Françaises et les Français ne veulent pas, ne veulent plus
car elle est tout simplement suicidaire !! ...


    Les Françaises et les Français ont pleinement pris conscience des réels dangers qui les menacent,
   c’est pourquoi ils ne veulent plus de ces " gue-guerres " idéologiques, voires tribales et sectaires
d’un autre siècle - fortement imprégnées de féroces et redoutables ambitions personnelles -,
qui ne servent qu’à diviser les hommes.

Ce qu’ils réclament, c’est une réelle démocratie,
une vraie démocratie participative vivante, active et directe,
où voter a un sens !

Non seulement ils sont prêts à y participer, mais ils le clament haut et fort.

Les Français veulent tout simplement avoir
leur légitime droit de cité.